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Dat as eng Optioun vun Download fir mat Life Puzzle ze schaffen

Dat as just eng vun den Méiglechkeeten. Am Loggin gin et Optiounen vun Downloads déi den User sech zou deene verschiddenen Produit´en als Pdf downloaden kann. Hei sin dann och zum Deel Video Tutorials ze gesin

Ech géing dann viir all Download eng Säit maachen déi de selwechten Obbau huet. sou kann een all Säit zou den Produit´en zouuerdnen. Wann z.Bsp. een Life Puzzle Pro bestellt, kridd hien automatesch och den Zougang zou den Downloads déi mat Life Puzzle zedin hun.

Explication générale du Life Puzzle Pro

Concept: Pascale Backes-Straus & Martin Straus

Conseiller scientifique : Dr Mäjed Chambah, Business & Life Coach, Maître de Conférences à l’Université de Reims Champagne-Ardenne

Design: Tom Diederich

Copyright © 2010 by INSTITUT IN<TELL>ACT Luxembourg 

ISBN 978-99959-694-0-0 

IN>TELL>ACT LIFE STRATEGY est un modèle qui visualise les différents éléments d’une stratégie de vie. La représentation graphique et le matériel en trois dimensions aide la personne dans la tentative de comprendre sa propre stratégie de vie et celle des autres.

Pour le conseiller en relations humaines, le coach, le pédagogue ou le thérapeute le LIFE PUZZLE PRO est un outil didactique important pour arriver plus rapidement à un résultat que par les explications verbales seules. Mais le LIFE PUZZLE PRO est également un support extraordinaire pour faire un travail personnel dans tous les domaines de la vie personnelle, sociale ou professionnelle.

L’homme est un système qui montre un comportement dynamique et qui reste ouvert pour les informations qui lui viennent de son environnement et auxquelles il essaie de s’adapter au mieux.

Cette adaptation ne se limite pas uniquement aux informations perçues consciemment,  mais sont concernées également celles qu’il capte inconsciemment sous forme d‘ondes électromagnétiques, d’ondes sonores, de changements de pression ou de température et de la présence de molécules chimiques.

Le système le plus complexe que l’homme a créé d’après son image, c’est l’ordinateur. C’est pourquoi nous utilisons cette métaphore pour expliquer le fonctionnement du système humain et de sa stratégie de vie.

Le professeur Bruce Lipton, biologiste cellulaire a montré que les composantes d’une cellule vivante ne correspondent pas seulement aux composantes d’un ordinateur, mais que les deux fonctionnent de la même façon. La cellule EST un ordinateur en miniature.

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Use – Life Puzzle Pro

LE PARCOURS D'UNE INFORMATION DANS LE SYSTÉME

Au début il y a l’impact d’une information sur le système. Pour l’ordinateur cela se fait normalement par un clavier, chez l’homme ce sont les organes des sens qui captent l’information. Ceci est représenté par la partie « IN » d’IN>TELL>ACT.

A partir de là, l’information passe dans une mémoire qui peut recevoir et échanger des données. Pour  l’ordinateur c’est la mémoire vive RAM (Random Access Memory). Chez l’homme il s’agit de toutes les données qui proviennent des expériences vécues personnellement ou de celles reprises chez d’autres.

A côté de la mémoire vive il existe également une mémoire fixe qui contient toutes les données nécessaires pour faire fonctionner le système et qui ne peuvent être ni complétées ni effacées. Pour l’ordinateur c’est la mémoire ROM (Read Only Memory). Chez l’homme  il s’agit de la mémoire contenant tous les programmes biologiques et génétiques qui constituent un être humain.

 

Après avoir été comparées aux données déjà contenues dans les deux mémoires pour détecter des similitudes, l’information captée par les sens est traitée par le système. Dans l’ordinateur c’est le rôle du processeur central CPU (Central Processing Unit). Chez l’homme c’est le cerveau qui s’occupe de cette tâche et qui prend une décision en fonction de la  qualité de l’information suivant qu’elle contribue ou nuit au maintien de la structure du système. On pourrait comparer cette partie du système à une cour de justice avec plusieurs juges. Ceci correspond au « TELL » dans IN>TELL>ACT.

Après le verdict des juges le système reçoit l’ordre de réagir en conséquence. Pour l’ordinateur le résultat de cette réaction est visible sur l’écran ce qui correspond chez l’homme aux réactions ressenties intérieurement comme des sensations, des émotions, des pensées, de l’estimation de soi et de symptômes physiques.

Les informations visibles sur l’écran de l’ordinateur peuvent également être transmises à une imprimante ou à des appareils comme des robots etc. Chez l’homme les réactions vers l’extérieur sont appelées « comportements ». Cette étape correspond à la partie « ACT » de IN>TELL>ACT.

On pourrait ainsi traduire IN>TELL>ACT par:

 INformationTELLs the system how to ACT

L’INformation DIT au système comment AGIR.

A. LES INFORMATIONS

Le système reçoit les informations par les cinq organes des sens. Les pensées sont traitées par le cerveau exactement comme les informations venant de l’extérieur et sont donc considérées comme le 6e sens.

1. Les pensées

Les pensées ne sont pas considérées comme un organe des sens. Elles accomplissent plutôt au cours de l’évolution le rôle de l’interprétation des impressions parvenant des organes des sens. C’est ainsi qu’on pourrait considérer la pensée comme un 6e sens.

 

Les pensées se composent d’une interférence d’ondes électromagnétiques, que le système interprète de la même manière que les informations parvenant d’un organe des sens.  Ce n’est qu’après avoir été examinées par le système quant à leur capacité de maintenir la structure, que les pensées obtiennent une signification propre et peuvent être jugées.

Ceci  veut dire que je ne pense pas la réalité, mais je pense ma réalité.

Les pensées peuvent d’un côté être récurrentes et maintenir la personne dans un cercle vicieux parce qu’elles ruminent continuellement les mêmes solutions qui n’ont pas abouti à une solution. D’un autre côté c’est par les pensées que l’individu peut brisé ce cercle vicieux en introduisant une nouvelle information dans le système. C’est d’ailleurs ce qui le différencie de l’animal qui n’a probablement pas cette opportunité.

2. Les yeux

Les informations entrant pas les yeux se composent d’un spectre d’ondes du domaine de la lumière. Ces ondes sont neutres. Elles sont focalisées par le cristallin, puis après avoir traversé les vaisseaux sanguins frappent de façon inversée la rétine. C’est à ce niveau là qu’elles sont codées en impulsions nerveuses et transmises  par les voies nerveuses à la partie du cerveau qui leur est destinée, tout en étant partagées en cours de route pour être guidées vers les deux côtés du cortex.

L’image qui se crée sous forme d’interférences d’ondes sur la rétine est tout à fait neutre. Cette image n’a aucune signification, aucun sens propre, elle n’est ni bonne, ni mauvaise.  Ce n’est qu’après avoir été examinée par le système quant à sa capacité de maintenir la structure, que cette image obtient  un sens, une signification propre et peut être jugée. Cette image très personnelle est alors re-projetée par le cerveau vers l’extérieur exactement à l’emplacement d’où provenait l’information initiale.

Ceci  veut dire que je ne vois pas la réalité, mais je vois ma réalité.

3. Les oreilles

Les informations entrant par les oreilles se composent d’un spectre d’ondes sonores tombant sur les tympans. C’est à ce niveau là que les ondes sonores du domaine de l’audible sont codées en impulsions nerveuses et dirigées par les voies nerveuses vers le cortex.

Le son touchant le tympan est tout à fait neutre. Ce son n’a aucune signification, aucun sens propre, il n’est ni bon, ni mauvais.  Ce n’est qu’après avoir été examiné par le système quant à sa capacité de maintenir la structure, que ce son obtient  un sens, une signification propre et peut  être jugé. Ce son très personnel est alors re-projeté par le cerveau vers l’extérieur à l’endroit même d’où provenait l’information initiale.

Ceci  veut dire que je n’entends pas la réalité, mais j’entends  ma réalité.

4. La peau

Les informations reçues/provenant de la peau se composent de changements de pression et de température. Sur la peau ces sensations sont codées en impulsions nerveuses et sont dirigées vers les deux côtés du cortex.

La sensation ressentie par la peau est tout à fait neutre. Cette sensation n’est ni bonne, ni mauvaise.  Ce n’est qu’après avoir été examinée par le système quant à sa capacité de maintenir la structure, que cette sensation obtient  un sens, une signification propre et peut  être jugée. Cette sensation très personnelle est alors re-projetée par le cerveau vers l’extérieur d’où provenait l’information initiale.

Ceci  veut dire que je ne sens pas la réalité, mais je sens  ma réalité.

5. Le nez et la langue

Les informations reçues par le nez et par la langue sont de nature chimique. Ces informations sont tout à fait neutres. C’est au niveau des muqueuses que ces activités chimiques sont codées en impulsions nerveuses et dirigées vers le cerveau.

C’est à ce moment-là que se forment les odeurs et les goûts. Ces goûts et odeurs ne sont ni bons, ni mauvais. Ce n’est qu’après avoir été examinés par le système quant à leur capacité de maintenir la structure, que ces goûts et ces odeurs obtiennent  un sens, une signification propre et peuvent  être jugés. Ces goûts et ces odeurs très personnels sont alors re-projetés par le cerveau vers l’extérieur d’où provenait l’information initiale.

Ceci  veut dire que je ne sens et ne gôute pas la réalité, mais je sens et je goûte ma réalité’.

Assemblage : Le système des informations

Au niveau du ‘Life Puzzle’ les informations qui entrent par les organes des sens dans le système sont illustrées par une ondulation rectangulaire. L’ondulation sur la pièce de la pensée est plus complexe, parce qu’elle est déjà le résultat d’une adaptation par le système. Sur le schéma les informations ne sont pas encore directement liées au système.

Avant d’atteindre le système, les informations traversent encore deux blocs de filtres, les filtres des expériences et les filtres des croyances. Ces filtres sont une extension de la mémoire vive modulable.

Dans cette mémoire sont également stockées des croyances recueillies depuis plusieurs générations.

B. LES FILTRES DES EXPÉRIENCES

Chaque information entrant dans le système est jugée quant à sa résonance avec les informations concernant des événements arrivés durant sa propre vie, mais également avec celles provenant du temps de la grossesse, du vécu des parents et des ancêtres.

6. Filtres mnésiques - Expériences propres – De 6 ans à aujourd’hui

Ces filtres se situent au niveau des mémoires. Tous les événements de notre propre vie sont mémorisés dans le système et ceci avec les ressentis, les sentiments et les émotions qui les ont accompagnés. Ceci vaut également  pour les événements qui ne nous sont plus conscients. Toutefois tous les événements peuvent être remis en conscience si le système l’accepte. Ce n’est qu’à partir de la 6e année que nous réalisons consciemment les événements de notre vie. Cette pièce du Life Puzzle représente donc tous les événements personnels vécus de 6 ans à aujourd’hui.

Les informations entrant par les organes des sens sont filtrées par ces événements, ce qui est illustré par l’onde sinusoïdale rouge en bas de l’image. Au moment où une information entrante tombe sur une ondulation interférente existante, les deux informations se mélangent et la forme de l’ondulation envoyée au système se transforme.

 

Les cycles mnésiques

Marc Fréchet a découvert que durant la vie, beaucoup d’événements se répètent. Pour aller plus vite tout en évitant au maximum les dangers connus, il était important de retenir toutes les circonstances d’un événement, et ceci au moment exact de son apparition, y compris la position dans l’espace/temps. La nature ne disposant pas d’un calendrier, le système doit s’orienter par rapport au soleil et à la lune. En pratique la saison (mois), la position de la lune (jour) et la position du soleil (heure). Le nombre d’années est enregistré dans les organes et les cellules du corps. (vieillissement)

Ceci a amené Marc Fréchet à découvrir plusieurs cycles dont surtout le « Cycle de l’autonomie ». Le premier cycle commence à la naissance par l’autonomie vis-à-vis de la mère et se termine avec la création d’un foyer personnel (p.ex. mariage) par l’autonomie vis-à-vis des parents et des éducateurs. À ce moment les compteurs semblent être remis à zéro et le système s’attend maintenant à vivre dans les mêmes périodes de temps des situations analogues à celles qu’il a vécues au premier cycle.

7. Filtres neurologiques - Empreinte et conditionnement – Naissance à 6 ans

Ces filtres se situent au niveau de la création et des connections nerveuses au cerveau. Pendant la période entre la naissance et l’âge de 6 ans l’enfant ne réalise pas consciemment le monde. Le monde est ressenti par le petit enfant à travers les réactions de ses personnes de références, p.ex. la mère et le père et/ou d’autres adultes. Toutes les informations sur l’entourage de l’enfant sont enregistrées par son système sans être interprétées. 
Ainsi se constitue une représentation intérieure du monde extérieur. C’est ce que Konrad Lorentz a défini comme « empreinte ». L’effet de cette empreinte est le plus fort après la naissance. La première personne de contact de l’enfant devient la personne de référence.  L’effet de l’empreinte diminue de plus en plus avec l’âge jusqu’à 6 ans.

Néanmoins, même plus tard, on ne doit jamais oublier cette empreinte si on veut comprendre sa stratégie de vie. Ces informations de l’empreinte sont très fortement ancrées dans le système. En plus de l’empreinte, l’enfant apprend surtout par le conditionnement. Si un événement coïncide avec l’apparition d’un objet, cet objet peut plus tard à lui seul provoquer la même réaction que l’événement d’origine.

Le temps avant, pendant et juste après la naissance est également très important dans la constitution de la stratégie de vie de l’enfant et du futur adulte au niveau neuronal.

8. Filtres embryonnaires - De la conception au 9ème mois

Ces filtres se situent au niveau de organique avec la multiplication et l’agencement des cellules pendant la gestation. Des événements qui se sont produits durant la conception sont liés à la fusion de l’ovule et du spermatozoïde. Les informations liées à la perception et aux émotions de la mère (et du père) pendant ce temps jouent également un rôle à ce moment. Le vécu de la mère pendant la grossesse, mais surtout la façon dont elle l’a ressentie, sont également incorporés dans la mémoire de l’embryon et du fœtus.

Ces informations lui serviront plus tard d’orientation dans la vie et font donc partie intégrante de sa stratégie de vie. Les angoisses de la mère pendant ce temps peuvent plus tard déclencher des réactions inconscientes de peur chez l’enfant.

9. Filtres cellulaires - Neuf mois avant la conception

Ces filtres se situent au niveau de la formation des cellules germinales du père et de la mère. Ceci implique l’organisation des chromosomes lors de la formation du sperme et de l’ovule. Ainsi, il semble que des informations qui sont en relation avec la situation émotionnelle des deux parents soient intégrées dans la stratégie de vie de l’enfant à concevoir.
Marc Fréchet a appelé cette programmation « projet-sens ». Le sens de l’enfant serait dans ce cas de réaliser inconsciemment le projet des parents (un peu comme le téléphone matérialise et réalise le projet de son inventeur).
La situation devient problématique pour l’enfant si la situation dont il incarne la solution s’inverse au cours de sa vie. Alors il risque de perdre le sens de sa vie.

10. Filtres génétiques - Les ancêtres depuis 4 générations

Ces filtres se situent au niveau des gènes. Souvent la stratégie de vie d’un être humain contient des informations qu’on peut suivre à travers plusieurs générations. Surtout des informations qui sont en relation avec des traumatismes importants qui n’ont pas pu être résolus. Ce sont souvent des secrets dont on ne parle pas, mais qui déterminent pourtant la stratégie de vie.

À tout moment il faut prendre en compte que les informations contiennent souvent des aspects secondaires d’un traumatisme qui se sont passés en parallèle (conditionnement). Ils n’avaient aucun lien direct avec l’événement en question mais ils y sont néanmoins liés dans la mémoire.

C. LES FILTRES DES CROYANCES

Les croyances sont des manières de voir un certain sujet, qu’on a mises en place soi-même ou qui ont été mises en place par d’autres. Elles sont traitées par le système comme un dogme, comme la vérité absolue. Ces croyances ont été reprises des parents, des membres de la famille, des amis de la famille, des instances culturelles et religieuses ainsi que des médias.

11. Croyances personnelles

Pendant l’enfance chacun s’est construit des croyances, souvent parce que les instructions des parents ont été mal interprétées. Il s’agit de croyances qui concernent sa propre personne. Elles résultent du fait qu’en tant qu’enfant on se crée des explications pour comprendre son propre comportement ainsi que celui de ses parents ou de ses éducateurs. Après maintes répétitions d’une même situation l’enfant peut p.ex. conclure : « Je ne vaux rien », « De toute façon je fais tout de travers », « Je ne réussis jamais », « Personne ne m’aime », « On n’a jamais le droit de contredire », « Faire des fautes et se tromper est mauvais » etc.

12. Croyances des parents

 Il y a aussi des croyances que les deux parents se sont appropriées et qui avec l’éducation sont inconsciemment transmises à l’enfant. Ces croyances peuvent concerner tous les domaines de la vie quotidienne, les repas, les habits, le comportement dans la société, etc., mais également la vie sexuelle, les relations ou la vie communautaire. P.ex. « On ne parle pas en mangeant », ou « le dimanche est un jour de famille » ou…

L’enfant capte toutes ces croyances des parents, même si elles ne sont pas exprimées verbalement par les parents. L’enfant développe ses croyances à travers ce qu’il vit et non pas à travers ce qu’on lui dit.

13. Croyances de la tradition familiale

Les croyances établies dans le clan familial ont été inconsciemment assumées au cours de la vie. Elles ont souvent été considérées au cours des générations comme des vérités absolues.

P.ex. «Dans la famille des… chacun s’oriente vers une profession intellectuelle» ou «Dans notre famille on ne divorce pas» ou «On ne parle pas des membres de famille qui étaient en prison» ou «Les gens riches sont malhonnêtes» ou «Les personnes intellectuelles sont arrogantes» etc.

14. Croyances sociales et culturelles

La société établit également des croyances selon lesquelles les gens sont invités à agir. Ces croyances peuvent concerner des domaines comme l’éducation, la vie sociale, les mœurs et coutumes, les habitudes de consommation, d’alimentation, les questions de mariage etc.

Ces croyances sont établies à l’école ainsi que dans l’environnement social. Ceci est surtout relevant pour des immigrants, qui sont amenés à vivre dans une culture différente de celle de leur pays d’origine.

15. Croyances religieuses

Chaque religion se base sur des croyances qui lui sont propres. Ici il s’agit de croyances par lesquelles la religion peut influencer les comportements personnels, familiaux et sociaux, et ceci dans le domaine des relations entre hommes et femmes, de la sexualité, de la planification familiale, dans le rôle des deux sexes, de la vie sociale et surtout dans le domaine spirituel.

Assemblage des filtres

L’image des vibrations représentant l’information se transforme après chaque image pour indiquer que l’information qui entre dans le système n’a plus rien à voir avec celle du début.

Les pièces des différentes périodes sont agencées dans l’ordre inverse de la direction de lecture. Au début cela peut irriter l’utilisateur du Puzzle mais les informations nouvelles sont d’abord filtrées par les expériences récentes avant d’être  comparées aux informations plus anciennes.

 

Les filtres des croyances sont reliés aux périodes de l’existence par des petits traits rouges

Ils ne correspondent pas forcément aux périodes dans lesquelles elles aboutissent. Il est tout à fait possible que certaines croyances aient été mises en place au cours de périodes différentes. En ce qui concerne les croyances culturelles et religieuses, elles jouent p. ex. un rôle dans l’établissement de croyances de toutes les périodes.

Information pratique :

Je ne perçois pas le monde tel qu’il est, mais tel que je crois qu’il est. Mon monde se forme dans ma tête sous forme d’hologramme. Cette image est projetée dans le monde réel au même endroit où je l’ai perçue. Je ne vois donc que l’image du monde que je me suis faite de la réalité à travers mes deux filtres. L’illusion est parfaite!

Les informations auxquelles mon système a réagi, n’ont finalement rien à voir avec l’événement réel qui s’est produit, mais seulement avec les informations qui à l’intérieur de tout un chacun sont en résonance avec cet événement. C’est pour cela qu’il ne sert à rien de vouloir changer l’événement. Si je veux changer l’impact qu’un événement a sur moi, je dois changer mon point de vue et mon ressenti vis-à-vis de l’événement.

MAINTIEN DE LA STRUCTURE

Le système réagit à des informations de son entourage seulement parce qu’il veut maintenir sa structure. De quoi se compose donc cette structure qu’il s’efforce de maintenir ? On peut diviser la structure globale en trois sous-structures :

  • la structure sociale
  • la structure corporelle/physique
  • la structure mentale.

Ces trois sous-structures forment un tout parce qu’elles sont reliées entre elles. En pratique on peut les traiter séparément pour ainsi mieux comprendre et adapter sa stratégie de vie.

La structure est également liée aux filtres décrits précédemment car c’est à partir d’eux qu’elle s’est construite au fil du développement personnel.

Remarquez que les images représentent des hommes préhistoriques pour illustre que dans ce domaine notre cerveau fonctionne encore comme celui d’il y a des milliers d’années.

D. LA STRUCTURE SOCIALE et E. LA STRUCTURE CORPORELLE/PHYSIQUE

Beaucoup de scientifiques sont aujourd’hui d’avis que la structure corporelle/physique s’est développée pour s’adapter aux exigences de l’environnement . Comme l’être humain ne peut survivre qu’en tant que être social, il doit y avoir un lien direct entre la structure corporelle et sociale. Ainsi on les présente en même temps.

La structure sociale est importante pour répondre aux besoins biologiques de l’être humain. Les organes et les différentes parties du corps reflètent ces besoins de par leur structure et surtout de par leur fonction.

16. Besoin de survie / 21. Organes vitaux

Pour survivre, l’être humain a besoin d’oxygène, d’eau et de nourriture. Aujourd’hui le besoin de nourriture est transféré sur l’argent qui sert  d’intermédiaire entre mon besoin et la satisfaction de mon besoin.

Pour beaucoup de gens, les biens de consommation « inutiles » pour survivre sont associés au programme de survie comme si la vie dépendait de leur satisfaction.

Ce besoin vital peut également jouer un rôle dans une situation de perte d’emploi quand la personne concernée croît ne plus pouvoir nourrir sa famille sans son travail.

Les organes correspondants sont les poumons, le système digestif les reins et le cœur.

17. Besoin de sécurité / 22. Peaux

Après la nourriture l’être humain a besoin d’être en sécurité devant les animaux sauvages, les catastrophes naturelles et les ennemis.

Actuellement les conflits liés à ce désir touchent la location ou l’achat d’une maison et les conflits concernant les dettes à payer avec le risque de perdre son toit. Le système réagit de la même manière aujourd’hui que chez les hommes préhistoriques, même si le mental sait qu’il n’y a pas de danger mortel.

Pour protéger les organes vitaux importants on a le péritoine, la plèvre, le péricarde et la peau.

18. Besoin de reproduction / 23. Organes de reproduction

Pour préserver l’espèce humaine, il est absolument nécessaire de se reproduire. Mais il est également important de faire des enfants pour garantir le fonctionnement du groupe qui autrefois avait besoin d’un certain nombre d’individus.

Les conflits éventuels de ce besoin biologique sont liés à la recherche d’un(e) partenaire, à la relation amoureuse et sexuelle, à la procréation et à la gestation des enfants ainsi qu’à leur éducation.

Les organes correspondants sont les organes sexuels et génitaux.

19. Besoin du groupe / 24. Appareil de mobilité

Dans le désert l’être humain est une proie et ne peut donc survivre que dans un groupe. Le groupe lui garantit la protection contre les ennemis, et l’aide dans les occupations quotidiennes comme l’acquisition de la nourriture, la construction d’un abri et la défense de son territoire.

Ce groupe se définit par une certaine hiérarchie et chacun a une place qu’il doit respecter.

Les parties corporelles correspondantes sont les os, les muscles, les ligaments, les tendons, les articulations et les tissus adipeux.

20. Besoin d’un nid et d’un territoire / 25. Système nerveux

Pour éduquer tranquillement ses enfants, l’être humain a besoin d’un abri qui lui servira de nid. Il a également besoin d’un territoire. Dans le territoire on peut paisiblement aller à la recherche de nourriture et d’un partenaire et on est à l’abri d’ennemis.

Le marquage de ce territoire sert d’ailleurs à signaler à l’étranger les limites à ne pas franchir sans permission.

Les parties corporelles correspondants sont le système nerveux, le cortex et les organes des sens. Les organes des sens servent à localiser l’ennemi à temps et de pouvoir réagir avant qu’il envahisse le territoire. Le système nerveux sert à la communication avec d’autres personnes et à la planification du futur.

Assemblage : Les pièces de la structure sociale et corporelle/physique

La structure sociale et la structure corporelle/physique constituent donc un tout. Ceci est représenté par le dessin en forme d’un bonhomme rouge.
Au cours de l’évolution les êtres vivants se sont développés de façon à ce que leur corps s’adapte à leur besoins.

Les organes et les parties du corps dans leur forme  actuelle ne se sont donc pas constitués de manière fortuite, mais en réponse aux exigences de l’environnement naturel et social.

C’est ainsi que le corps réagit à des changements dans l’environnement social de l’être humain par des changements de ses parties corporelles.(Voir les ailes des pingouins).

Elles sont en quelque sorte la réponse matérielle à des situations conflictuelles, autrement dit, elles représentent la solution biologique pour un problème social. C’est pour cela que l’organe ou la partie corporelle transformée correspondent exactement au conflit social en question.

F. LA STRUCTURE MENTALE

Pour satisfaire aux besoins cités précédemment, la psyché de l’être humain s’est construite autour de cinq tendances biologiques essentielles. L’origine profonde de chaque pensée est toujours formée par une ou plusieurs de ces tendances. Tous les efforts servent à la survie. Si ces efforts n’ont pas abouti, le système le ressent comme un danger de mort.

26. Désir de sécurité

La vie des hommes préhistoriques était toujours menacée par des grands dangers, provenant surtout d’animaux sauvages. Même aujourd’hui notre cerveau fonctionne encore selon les règles et principes des temps préhistoriques. Chaque pensée, chaque action et chaque comportement a son origine dans le désir de sécurité. Supposons que je me retrouve, comme l’homme sur l’image, seul en savane, entouré d’animaux sauvages. Quelle serait la seule pensée qui me passerait par la tête ? « Comment est-ce que je me mets en sécurité ? ». Parfois le désir contraire peut être à l’origine de l’action, la recherche du danger. La personne semble alors s’exposer volontairement à un danger, courant ainsi le risque de mourir.

27. Désir d'approbation

Dans la nature l’homme est une proie. Il ne saurait survivre seul à ses prédateurs. Il a besoin d’appartenir à un groupe pour pouvoir remplir ses besoins biologiques. C’est pourquoi la pensée de l’homme préhistorique sur l’image tourne autour de l’approbation. Pour survivre il doit être admis dans un groupe et être accepté comme un des leurs. Si un membre seulement du groupe lui était mal intentionné, il resterait seul et serait en danger de mort. C’est pour cela que le désir d’approbation est un aspect important dans la vie sociale, même de notre temps où chacun pourrait cependant très bien survivre sans la reconnaissance des autres.

Il existe d’ailleurs des situations dans lesquelles certains individus désirent ne pas être approuvées par un groupe. Il se comportent de façon que la société les rejette.

28. Désir de contrôle

Une fois reconnu et intégré dans un groupe il faut veiller à y rester. Le meilleur moyen d’y parvenir c’est d’avoir le contrôle. Le statut de la position dans le groupe augmente avec l’augmentation de son contrôle. La position la plus sûre est évidemment celle du chef. Comme le désir de contrôle était toujours important pour la survie, il est clair qu’il s’agit là d’un pilier important de la vie sociale, même si la perte du contrôle ne consiste plus un danger aujourd’hui. Néanmoins le désir d’acquérir le pouvoir est une motivation importante dans la vie professionnelle.

Il existe des situations dans la vie où l’être humain aspire à être contrôlé par d’autres.

29. Désir de l’unité / Attachement

Le désir d’unité prend son origine dans le fait que la vie d’un être humain est due à l’union entre l’œuf et le spermatozoïde. L’essai de s’approprier quelque chose pour fusionner pratiquement avec cette chose peut être observé partout dans la vie. Ce désir de fusion ne s’adresse pas seulement aux personnes, mais également aux animaux et aux objets. Il y a également des individus qui évitent volontairement une fusion en faisant tout pour se différencier.

30. Désir de la séparation / Aversion

L’aspiration à la séparation a comme origine la séparation de sa mère au moment de la naissance.
Le désir d’unité ou d’attachement et le désir de séparation ou d’aversion sont pratiquement toujours présents dans tout autre désir. Souvent l’un des deux reste au niveau inconscient et bloque la personne dans la réalisation de ses désirs.

Souvent on commence par désirer un individu ou un objet avec insistance, pour vouloir s’en séparer plus tard avec la même énergie.

C’est pour cette raison que les deux aspects de ce désir ont droit à deux pièces séparées dans le puzzle.

Assemblage : Les pièces de la structure mentale

Au moment où une information tombe sur la structure d’un système, elle se retrouve comme devant un tribunal où elle va être évaluée et jugée. Si l’information a une signification importante pour une partie de la structure, elle provoque la réaction du système. Cette signification concerne toujours le maintien de la structure du système. Pour maintenir sa structure, le système doit d’abord être pourvu des éléments vitaux nécessaires. Il s’agit donc de veiller à ce que la nourriture p. ex. soit adaptée, de bonne qualité et sans produits toxiques. Il faut que les éléments nutritionnels parviennent en bonnes doses dans le système.

Il est également important d’utiliser les différentes parties du corps pour qu’elles ne dépérissent pas et effectuant par exemple des travaux ou des exercices. En plus faut-il soigner le corps pour le protéger des influences extérieures.
La signification est positive si l’information promet une récompense pour le système. P.ex. la procuration de nourriture, le contact humain ou les relations sexuelles.

D’un autre côté la structure d’un système est maintenue quand elle est protégée de la décomposition et de la destruction. La signification est négative si l’information indique un danger ou une punition comme p.ex. du mépris, une séparation ou l’exclusion du clan.

Dans la vie de tous les jours toutes les actions d’un être humain sont toujours inconsciemment le résultat du jeu combiné de ces trois structures (sociale, physique et mentale) ce qui permet de se poser la question sur le libre arbitre de quelqu’un. Pour la solution des situations conflictuelles, il est donc utile pour la personne concernée, de s’interroger sur les trois systèmes de structures, social, physique et mental.

G. LES RÉACTIONS INTÉRIEURES

Dès que le système classe une information comme importante, il y réagit automatiquement en changeant son état. La façon et le lieu du changement sont fortement liés au contenu et à l’origine de l’information.

Les réactions intérieures peuvent être provoquées aussi bien par le désir d’avoir quelque chose que par la peur d’un événement dangereux. Pour simplifier on va partir d’une information dangereuse et parcourir les différentes étapes des réactions intérieures. Les réactions extérieures qui souvent apparaissent en même temps, seront traitées au chapitre suivant.

31. Sensations corporelles

La première réaction intérieure se manifeste toujours par une sensation corporelle. Il peut s’agir d’un rougissement, d’une transpiration, d’un picotement ou même d’un léger changement de la fréquence cardiaque ou respiratoire.

Le sens de cette réaction intérieure est d’amener le système à abandonner instantanément sa position, de façon à pouvoir entamer la bonne action par rapport à l’information. Si l’action du système aboutit à une réussite, le sentiment s’éclipse et le système revient à son état antérieur / normal.

32. Emotions

Si le système ne peut pas réagir à une première information parce qu’une deuxième information ou une programmation intérieure l’en empêchent, il en résulte un conflit. Dans ce cas d’autres parties du cerveau, comme p.ex. le système limbique sont activées pour résoudre le problème en déclenchant la production d’hormones. Les sensations corporelles augmentent en intensité. Ainsi elles sont mieux perçues et appelées « émotion ».

Il n’existe finalement que deux émotions de base : L’attachement et l’aversion.

L’attachement, si le système a besoin de quelque chose pour garantir sa survie. (P.ex. un partenaire ou de l’eau).

Cette émotion est par exemple appelée « l’amour » quand il s’agit d’un partenaire ou « envie » s’il s’agit d’un produit.

L’aversion est l’émotion du danger. Le système doit absolument éviter quelque chose pour ne pas mourir. On appelle les émotions « angoisse/peur/anxiété ».

Si le conflit est en rapport avec un événement du présent on retrouve souvent le dégoût. Pour un événement du passé c’est la tristesse et pour un événement du futur c’est la peur.

33. Images intérieures, sons et pensées

Si le système ne trouve toujours pas de solution au conflit intérieur, il fait appel à l’intellect et au mental. Il en résulte des images et des sons, éventuellement même des voix, qui tournent autour du conflit et qui submergent le mental. A travers  ces images, l’inconscient peut trouver une solution au problème.

Le cerveau est constitué de façon à fonctionner avec des images et non pas par la logique. Pour le cerveau inconscient le temps et le lieu n’existent pas comme éléments linéaires mais parallèles. C’est pour cela que les images jouent un rôle important dans la solution des conflits, surtout quand il s’agit de métaphores.

Dans des situations de danger de mort il arrive que le système récapitule en toute vitesse toutes les images de toute sa vie depuis sa conception pour avoir toutes les informations nécessaires à une solution.

Par les pensées il y a la possibilité de juger et de comparer des événements du présent et du passée, ainsi que des solutions antérieures. Si elles tournent autour d’une solution qui n’a pas abouti, elles risquent de bloquer l’individu dans un cercle vicieux. Si au contraire l’individu est ouvert à l’inconnu, elles constituent un outil performant pour changer.

34. Ressenti personnel / Estime de soi

Si ni les images ni les sons ni les pensées ne contribuent à trouver la solution au conflit, l’individu se constitue une opinion concernant son propre rôle dans la situation. C’est ce qu’on appelle « l’estime de soi ». On constate souvent que si une personne ne trouve aucun moyen de résoudre le conflit, cela doit forcément être de sa propre faute. Il estime qu’il ne vaut rien dans ce domaine.

Il en résulte des sentiments de culpabilité et d’infériorité avec toutes leurs nuances. Ceci mène évidemment à un changement de comportement que les autres membres du groupe remarquent. Ils posent des questions et se soucient et peuvent donner des solutions. Ceci n’est vrai que si on rencontre quelqu’un qui voit la situation conflictuelle de façon objective et qui n’est pas dans une attente d’approbation lui-même.

35. Symptômes corporels

Si même avec le changement de comportement, la solution n’est pas en vue, le système réagit avec des changements corporels, des symptômes. Ceux-ci peuvent se montrer sous forme de déficits, de troubles fonctionnels, de changements de tissus ou de dysfonctionnements organiques.

Si on regarde le symptôme comme une intensification de la recherche d’une solution au conflit, on peut se poser des questions sur le sens des symptômes qui néanmoins causent de la peine à la personne concernée. Elles sont souvent douloureuses et peuvent même parfois tuer. Les symptômes peuvent provoquer une empathie chez les personnes entourant le malade. Il est possible que quelqu’un trouve alors la solution au problème du souffrant.

 

Souvent c’est la maladie elle-même qui est la solution parce qu’elle peut apporter des avantages secondaires au malade, des avantages dont il ne bénéficierait pas s’il était en bonne santé. (P.ex. il n’a plus besoin d’aller au travail, il est soigné, on s’occupe de lui.)

Composition des réactions intérieures

On voit bien ici l’intensification des tentatives de solution, représentée symboliquement par les gradins rouges. Chaque gradin contient tous les gradins précédents. Ainsi on peut admettre que quelqu’un qui présente des symptômes corporels a également éprouvé une estime de soi négative, des images qui tournaient dans sa tête, des émotions et à l’origine un sentiment corporel. Ces réactions intérieures accompagnent chaque comportement.

H. LE COMPORTEMENT EXTERIEUR

Le comportement extérieur est, comme la pointe de l’iceberg, la partie de la stratégie qui se montre et que les autres personnes remarquent. Derrière chaque comportement se cache toujours une des réactions intérieures qu’on vient d’énumérer.

Comme pour les réactions intérieures, les comportements sont amplifiés dans des situations d’attachement comme dans des situations d’aversion.

Toutes les formes de comportement peuvent être conditionnées c’est à dire que si une forme de comportement a mené plusieurs fois à un résultat, ce comportement va être réutilisé de préférence dans une situation similaire, même si un autre comportement serait à ce moment-là mieux adapté. Avec le temps le comportement devient une partie intégrante de la stratégie de vie.

36. La consommation

Le comportement le plus important est la consommation. Ce comportement est indispensable à la survie. Déjà la première cellule n’a pu survivre que parce qu’elle s’appropriait des parties de son entourage, de la nourriture.

 

Chez l’être humain, la consommation ne se limite plus à des aliments, mais peut être définie par des objets, la sexualité, des expériences de vie, d’autres êtres humains, du savoir etc.

Le comportement de la consommation peut être en équilibre ou extrême. Il y a des êtres humains qui consomment démesurément, d’autres seulement de façon minime.

37. La communication

Comme l’être humain est un être social, la communication joue un rôle important dans son comportement. La communication est partout et chacun a sa propre manière de communiquer avec les autres. On trouve les deux situations extrêmes, comme l’absence totale de communication et la communication excessive ainsi qu’un bon équilibre entre communiquer et écouter.

38. La fuite

Le comportement de la fuite fait référence au déplacement d’un endroit à l’autre. Quand il s’agit de s’approprier quelque chose (p.ex. aimer qqn ou qqch), on parle plutôt d’attraction. Quand il s’agit de se déplacer devant un danger, on parle de fuite. La fuite est toujours la première option en cas de danger. C’est la réaction qui nécessite le moins d’énergie et qui comporte le moins de risques.

La fuite peut être choisie librement pour quitter une situation inconfortable (p. ex. avec une excuse pour ne plus devoir assister à une réunion de famille). Elle peut aussi être instinctive pour échapper à un danger réel (p. ex. la poursuite d’un agresseur).

On peut également fuir virtuellement quand on ne peut pas quitter une situation pour des raisons sociales ou culturelles. (P.ex. à l’école). Alors la fuite se fait par la pensée et c’est l’attention qui se sauve grâce au rêve éveillé.

39. La lutte

Si en cas de danger la fuite est impossible, la personne comme tout être vivant essaie de lutter contre la menace.
Cette attitude nécessite naturellement beaucoup plus d’énergie et le danger de mourir est plus grand qu’en cas de fuite. Cette défense physique est souvent considérée comme une agressivité volontaire. 

L’entourage d’une personne qui est en train de se défendre ne voit souvent pas la peur que ressent la personne « agressive » et ne comprend pas son comportement. Comme pour la fuite il y a aussi différents niveaux de défense allant de la défense verbale à l’agression physique, voir au meurtre.

40. L'inhibition de l'action

Si ni la fuite ni la lutte ne sont efficaces, alors il ne reste plus que l’inhibition de l’action. Le système est convaincu qu’il n’y a aucune solution et abandonne toute tentative pour sortir de la situation. Chez les animaux on observe ce comportement quand l’animal « fait le mort ».

La plupart des prédateurs ne se nourrissent que de proies vivantes, donc en mouvement, une proie qui ne bouge pas est donc considérée comme morte.  Son inhibition temporelle peut ainsi sauver la vie à la proie.

Chez l’homme, le comportement de l’inhibition sert à attendre que la situation se règle d’elle-même en sa faveur. Souvent l’inhibition dure trop longtemps et peut mener à la dépression. L’inhibition de l’action peut également être favorable au développement de nombreuses maladies, comme le montre le professeur Henri Laborit dans ses expériences sur le comportement des rats.

C’est cette situation d’inhibition de l’action qui génère le stress négatif le plus menaçant pour la santé.

Assemblage des pièces se référant aux comportements.

L’assemblage des pièces montre que les trois dernières pièces sont reliées entre elles de façon que l’information (trait rouge) passe d’abord par la fuite, puis par la lutte pour aboutir à l’inhibition. Cela veut dire qu’un individu avec un comportement d’inhibition a déjà essayé de lutter et de fuir, et cela sans résultat.

Dans la recherche sur les syndromes post-traumatiques le professeur P. Levine et d’autres ont constaté que ces symptômes étaient liés au fait qu’à la suite d’un traumatisme, l’individu n’avait pas pu exécuter jusqu’à la fin le geste qui aurait évité le traumatisme. Le fait de refaire ce geste en thérapie donne des résultats très prometteurs.

Dans le cas d’événements traumatiques graves pendant l’enfance, il peut même arriver qu’une même personne adopte des stratégies différentes pour des situations précises, comme si elle avait intégré des personnalités multiples avec des comportements et même des caractéristiques physiques différentes.

IMAGES DU SUPPORT

1. LES TROIS IDENTITES

Le mode de fonctionnement de la vie et surtout celui de la conscience reste encore un mystère pour la science. Avec les nouvelles technologies d’imagerie on a bien la possibilité de voir fonctionner le cerveau, mais avec chaque nouvelle découverte de nouvelles questions se posent.

Pour pouvoir travailler avec le concept INTELLACT, nous avons partagé virtuellement l’humain en 3 niveaux superposés. Le penseur, le corps et la structure. Chacun des trois niveaux est considéré comme ayant une « conscience » et faisant fonction d’identité. Ainsi la pensée fonctionne suivant la conscience mentale, le corps suivant la conscience corporelle et la structure suivant la conscience morphique.

 

Même si dans la réalité ces trois consciences fonctionnent continuellement en parallèle et ne peuvent être séparées, nous pouvons quand même utiliser ce modèle pour comprendre les stratégies de vie et pour observer leur fonctionnement dans la vie courante.

Chez l’homme, le comportement de l’inhibition sert à attendre que la situation se règle d’elle-même en sa faveur. Souvent l’inhibition dure trop longtemps et peut mener à la dépression. L’inhibition de l’action peut également être favorable au développement de nombreuses maladies, comme le montre le professeur Henri Laborit dans ses expériences sur le comportement des rats.

C’est cette situation d’inhibition de l’action qui génère le stress négatif le plus menaçant pour la santé.

L’identité structurelle

Selon le biologiste Rupert Sheldrake et d’autres, l’information qui est responsable pour le développement d’un être vivant est présente dans l’univers comme un champ morphique. Ce champ morphique d’un corps correspond à la vibration de ce corps au niveau énergétique le plus bas.

Ceci n’est pas seulement valable pour le corps en entier, mais également pour chaque organe voire pour chaque cellule et partie de cellule. Comme toute matière dans l’univers, le corps humain tente de vibrer à ce niveau énergétique le plus bas. L’identité structurelle (morphique) représente la perfection avec toutes les possibilités.

L’identité corporelle

La conscience corporelle gère le développement et le fonctionnement du corps qui s’est formé sur la base de l’identité structurelle au cours de son évolution personnelle.

Cette identité fonctionne dans l’instant et ne connaît pas la notion de temps. Le passé et le futur n’existent pas pour elle. Elle est faite pour réagir ! Et elle réagit grâce aux automatismes créés depuis la conception.  

L’identité mentale

L’identité mentale est le siège de nos pensées conscientes et de notre volonté. L’identité est liée au temps et les informations sont traitées de façon linéaire. C’est ce que nous pensons être. L’image (souvent idéalisée) que nous nous faisons de nous-même.

La force de l’identité mentale est de pouvoir comparer, juger, planifier en développant une logique mentale qui est différente de la logique corporelle. On ne connaît pas encore très bien son influence sur l’identité corporelle, mais beaucoup de scientifiques pensent que toute pensée soit matérialisée dans le corps.

2. CROISSANCE ET PROTECTION.

Une cellule n’a que deux modes de fonctionnement, les modes « Croissance » et « Protection ». Il est impossible qu’elle soit dans les deux modes en même temps.

Ceci ne vaut pas pour un système aussi complexe que le corps humain, il est possible que certaines de ses parties soient en mode « Croissance » tandis que d’autres fonctionnent en mode « Protection ». Un système a un fonctionnement optimal si toutes ses parties sont en mode « Croissance » et il finit par mourir si elles sont toutes en mode « Protection » pendant trop longtemps. Le but de la stratégie de vie est de maintenir la structure du système en équilibre entre le mode « Croissance » et le mode « Protection » suivant les informations qu’il reçoit de l’environnement dans lequel il vit.

3. L'EVOLUTION

Il devient de plus en plus évident que le cerveau de l’homme moderne fonctionne encore en grande partie comme celui de l’homme préhistorique vivant il y a des milliers d’années. Pour donner suite à des informations qui lui viennent de son environnement, il réagit plutôt biologiquement que psychologiquement. C’est pourquoi nombre de ses comportements s’expliquent par l’évolution et se retrouvent également chez beaucoup d’animaux.

4. INFORMATION - ÉNERGIE - REPRÉSENTATION

Les expériences en physique quantique montrent que la matière n’est pas composée de matière, mais de photons, de particules de lumière qui tantôt se comportent comme une onde tantôt comme des particules. (Expérience des deux fentes en physique quantique).

Pour le travail avec IN>TELL>ACT il est important de connaître la relation entre l’information, l’énergie et la représentation ou la matérialisation de l’information.

 

Toute représentation matérielle est une information rendue visible, audible ou palpable par une énergie. On entend souvent dire que « Tout est énergie ». Ceci est vrai dans un certain sens, mais si l’énergie est dépourvue d’informations elle n’est rien. Il serait donc plus juste de dire que « Tout est information » car cela est juste dans tous les cas.

L’information est toujours présente et n’est ni liée au temps ni à l’espace. L’énergie fait apparaître l’information. Elle peut la transporter et en changer la représentation.

L’image, le son ou la sensation sont des représentations d’une information. Cette représentation n’est possible que si le milieu dans lequel elle se produit y est adapté.

Une métaphore simple de cette triade est la projection d’une diapositive sur un écran. La diapositive comprend l’information. Pour voir l’information il faut un projecteur avec une lampe de projection qui livre l’énergie nécessaire et un écran opaque pour visualiser l’image. Si l’un des trois éléments manque ou n’est pas adapté à la situation comme une lampe à infrarouge ou un écran transparent, alors l’information reste imperceptible.

5. COMMUNICATION UNIVERSELLE PAR RÉSONANCE

Grâce aux connaissances en physique quantique, nous savons aujourd’hui qu’il existe une communication instantanée entre deux particules quantiques parce qu’elles sont liées entre elles. Reste encore la question si les phénomènes constatés au niveau subatomique peuvent être transposés au niveau atomique, moléculaire et cellulaire.

Les recherches récentes sur la conscience laissent supposer que le cerveau peut s’ouvrir à une communication plus globale et qu’il peut ainsi entrer en communication avec d’autres cerveaux et communiquer avec eux. Il serait donc imaginable que tous les êtres vivants soient en relation entre eux comme l’a déjà supposé C.G. Jung quand il a parlé de l’inconscient collectif.

Comme pour les transmissions radiophoniques ou télévisées, les téléphones portables et les réseaux Internet, il faut entrer en résonance avec la fréquence émettrice pour pouvoir récolter des informations.

6. RÉCOMPENSE ET PUNITION

Le principe « récompense – punition » est le moteur de l’évolution. C’est en recherchant l récompense et en évitant la punition que se développe la stratégie de vie d’un individu. Depuis la naissance il apprend à rechercher ou reproduire les situations valorisantes et à éviter les situations pénibles. Le système considère comme récompense tout ce qui contribue au maintien de sa structure. Il ne juge donc les situations que par rapport à la survie.

7. LE CONDITIONNEMENT

Combiné au principe de la récompense et de la punition c’est le principe du conditionnement qui constitue la plus grande force dans le développement d’une stratégie. Depuis Pavlov nous savons que si un signal (son de cloche) est émis en même temps qu’un morceau de viande, ce signal va à lui seul faire baver le chien après y avoir été conditionné. Ceci est également vrai pour un danger.
Un homme peut par exemple vivre un danger et se protéger. S’il entend en même temps une musique, cette musique va plus tard alerter son système et le pousser à se protéger.

Si dans la nature ce principe est très utile, dans la vie courante il peut devenir insupportable. Comme le conditionnement se fait inconsciemment il va également induire des réactions inconscientes pour donner suite à des informations inconscientes qui n’ont apparemment pas de sens. C’est pourquoi il est souvent difficile de comprendre ses propres réactions et plus encore celles des autres.

8. LA RÉPÉTITION

L’apparition de la vie sur terre a été possible grâce au principe de la répétition et ce à tous les niveaux. La probabilité qu’un phénomène se répète était toujours plus grande que celle qu’il change. C’est pourquoi nos cerveaux sont construits autour de ce principe et nous fonctionnons surtout par automatismes.

Malheureusement la vie actuelle confronte les humains à des changements fréquents et les automatismes inconscients axés sur la répétition peuvent alors créer des problèmes.

Il faut donc prendre en compte le principe de la répétition dans la compréhension de notre stratégie de vie. En prenant conscience des automatismes inconscients ceux-ci se transforment en propositions qu’on pourra consciemment accepter ou refuser.

C’est grâce à cette connaissance du fonctionnement inconscient que le niveau du libre arbitre d’un individu augmente considérablement lui procurant plus d’autonomie, plus de performance et plus de confiance en soi.

Important :

L’IN>TELL>ACT LIFE-PUZZLE n’est pas destiné à la thérapie de maladies corporelles ou psychiques, sauf s’il est utilisé par un  médecin, un psychiatre ou un psychothérapeute.

LE PARCOURS D'UNE INFORMATION DANS LE SYSTÉME

Au début il y a l’impact d’une information sur le système. Pour l’ordinateur cela se fait normalement par un clavier, chez l’homme ce sont les organes des sens qui captent l’information. Ceci est représenté par la partie « IN » d’IN>TELL>ACT.

A partir de là, l’information passe dans une mémoire qui peut recevoir et échanger des données. Pour  l’ordinateur c’est la mémoire vive RAM (Random Access Memory). Chez l’homme il s’agit de toutes les données qui proviennent des expériences vécues personnellement ou de celles reprises chez d’autres.

A côté de la mémoire vive il existe également une mémoire fixe qui contient toutes les données nécessaires pour faire fonctionner le système et qui ne peuvent être ni complétées ni effacées. Pour l’ordinateur c’est la mémoire ROM (Read Only Memory). Chez l’homme  il s’agit de la mémoire contenant tous les programmes biologiques et génétiques qui constituent un être humain.

 

Après avoir été comparées aux données déjà contenues dans les deux mémoires pour détecter des similitudes, l’information captée par les sens est traitée par le système. Dans l’ordinateur c’est le rôle du processeur central CPU (Central Processing Unit). Chez l’homme c’est le cerveau qui s’occupe de cette tâche et qui prend une décision en fonction de la  qualité de l’information suivant qu’elle contribue ou nuit au maintien de la structure du système. On pourrait comparer cette partie du système à une cour de justice avec plusieurs juges. Ceci correspond au « TELL » dans IN>TELL>ACT.

Après le verdict des juges le système reçoit l’ordre de réagir en conséquence. Pour l’ordinateur le résultat de cette réaction est visible sur l’écran ce qui correspond chez l’homme aux réactions ressenties intérieurement comme des sensations, des émotions, des pensées, de l’estimation de soi et de symptômes physiques.

Les informations visibles sur l’écran de l’ordinateur peuvent également être transmises à une imprimante ou à des appareils comme des robots etc. Chez l’homme les réactions vers l’extérieur sont appelées « comportements ». Cette étape correspond à la partie « ACT » de IN>TELL>ACT.

On pourrait ainsi traduire IN>TELL>ACT par:

 INformationTELLs the system how to ACT

L’INformation DIT au système comment AGIR.

A. LES INFORMATIONS

Gestion des Conflits

Discours préliminaire

Anamnèse

Den Button soll eng Pop Up Box sin mat engem « Saved Template » . Do kann dann de ganzen Text emol online stoen (Content) plus Video Tutorials an de den Inhalt als Pdf fir eroofzelueden

Travailler avec le Life Puzzle Pro

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